Trans-Mediterranean Renewable Energy Cooperation

La Coopération Transméditerranéenne pour l'Énergie Renouvelable est une initiative du Club de Rome, de la Fondation Hambourgeoise de la Protection du Climat et du National Energy Research Center of Jordan.



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Énergie renouvelable - Utilisation durable des ressources naturelles - Énergie renouvelable dans l'Union européenne - Énergie renouvelable par pays

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  • La Coopération Trans -Méditerranéenne pour les Energies Renouvelables (TREC)... l'EU- MENA aussi rapidement que envisageable en se basant sur une coopération entre..... Il n'y aura jamais une seule particulièrement grande centrale solaire qui pourrait... (source : desertec)
  • ... Accès rapide, Afrique, Afrique Centrale, Afrique de l'Ouest , Amérique du Nord... La Trans - Mediterranean Renewable Energy Cooperation (TREC) est une... du Nord (North Africa) (EU- MENA) en promouvant une coopération entre les pays de la «ceinture solaire» et de la «ceinture technologique».... (source : mediaterre)
  • ... et de la région MENA. des centrales thermiques solaires installées dans le désert... Le Club de Rome et la Trans - Mediterranean Renewable Energy... Jordanie et le Maroc ont montré un vif intérêt à cette coopération.... (source : actualites-news-environnement)
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La Coopération Transméditerranéenne pour l'Énergie Renouvelable (TREC pour Transmediterranean Renewable Energy Cooperation) est une initiative du Club de Rome, de la Fondation Hambourgeoise de la Protection du Climat et du National Energy Research Center of Jordan (NERC). Depuis sa fondation, en septembre 2003, elle a travaillé sur le concept «DESERTEC» pour évaluer une sécurité de l'énergie, de l'eau et du climat en EUrope, au Moyen-Orient (Middle East) et en Afrique du Nord (North Africa) (EU-MENA) en promouvant une coopération entre les pays de la «ceinture solaire» et de la «ceinture technologique». Actuellement la TREC est en train de réaliser ce concept en coopération avec des représentants du monde politique, industriel et financier. [1]

Le noyau dur de la TREC est un réseau mondial de scientifiques, de politiciens et d'autres experts dans le domaine des énergies renouvelables et de leurs développements. Les membres de la TREC (environ 50 y compris Son Altesse Royale le Prince Hassan bin Talal de Jordanie) sont en contact régulier avec des gouvernements et des investisseurs privés, cherchant à valoriser les bénéfices qui pourront être tirés de cette coopération sur l'énergie solaire et éolienne, sur le développement des concepts et sur les projets spécifiques à promouvoir dans ce secteur. [2]

Deux rapports du DLR

Euro-Supergrid ayant une EU-MENA-Connection : Schéma d'une infrastructure envisageable pour un approvisionnement durable de puissance à l'EU-MENA.

La TREC a été fondée dans l'objectif d'apporter de «l'énergie propre» pour l'Europe et pour la «ceinture solaire» d'une façon rapide et économique à travers une coopération entre les pays de l'EU-MENA. L'énergie, venant des déserts, complémentaire aux sources d'énergies renouvelables européennes pourra accélérer le processus de ralentissement des émissions de CO2 et aussi aider à accroître la sécurité d'approvisionnement Européen en énergie. En même temps elle pourra créer des emplois, de l'eau potable et une infrastructure perfectionnée pour la population du MENA. [3][4]

La TREC est intervenue dans la réalisation de deux études qui ont permis d'évaluer le potentiel des énergies renouvelables dans le MENA, les besoins en eau et en puissance électrique qu'on peut attendre dans l'EU-MENA aujourd'hui à 2050, mais aussi la faisabilité d'un réseau intercontinental pour le transport d'électricité qui connecte l'UE (EU) à MENA (une EU-MENA-Connection). Ces deux études ont été financées par le ministère fédéral allemand de l'Environnement, de la Protection de la Nature et de la Sécurité Nucléaire (BMU) et celles-ci ont été réalisées par le Centre aéronautique et spatial allemand (DLR). Les rapports- ‘MED-CSP'et ‘TRANS-CSP'ont été achevé en 2005 et en 2006. [5][6] Un rapport ‘AQUA-CSP'à propos du dessalement solaire a été achevé à la fin de l'année 2007. [7]

Le concept «DESERTEC»

À titre d'illustration : Aires de l'ampleur indiquées par les carrés rouges qui pourraient suffire aux centrales thermiques solaires pour générer tout autant d'électricité qu'il n'en est consommé respectivement par le monde, par l'Europe (UE-25) et par l'Allemagne actuellement. (Données apportées par le Centre aéronautique et spatial allemand (DLR), 2005)

À partir d'études satellites exécutées par le Centre aéronautique et spatial (DLR) il a démontré qu'en occupant moins de 0, 3% de la surface entière désertique de la région MENA, des centrales thermiques solaires pourront produire assez d'électricité et d'eau douce pour satisfaire aux demandes actuelles de l'EU-MENA, ainsi qu'aux augmentations des demandes qu'on attend dans le futur. L'utilisation des vents en Maroc et sur terre autour de la mer Rouge générerait des approvisionnements additionnels d'électricité. Les puissances solaire et éolienne pourront être distribuées en MENA et être transportées par des lignes de courant continu de haute tension (CCHT) à l'Europe en subissant des pertes de transmission totales qui n'excéderont pas les 10-15%. Le Club de Rome et la TREC supportent l'ensemble des deux le concept «DESERTEC» : porter la technologie et les déserts au service de la sécurité de l'énergie, de l'eau et du climat. [3][4] Des pays tel que l'Algérie, l'Égypte, la Jordanie, la Libye, le Maroc et la Tunisie ont déjà montré un intérêt à cette sorte de coopération. [8]

La technologie

Schéma d'un capteur à auge parabolique. (Une alternative simplifiée au lieu d'un concentrateur à auge parabolique est le réflecteur sous forme d'un miroir- Fresnel linéaire)

La meilleure technologie pour apporter une sûre performance d'électricité est celle des centrales thermiques solaires (appelées aussi Concentrating Solar Power, CSP). Elles utilisent des miroirs pour concentrer la lumière du soleil et elles créent de la chaleur qui est utilisée pour générer de la vapeur pour actionner des turbines à vapeur et des générateurs d'électricité. L'excès de chaleur des capteurs complémentaires peut être stocké dans des citernes contenant un sel fondu qui est alors utilisé pour actionner les turbines à vapeur au cours de la nuit ou lorsque une pointe de consommation se produit. Pour garantir un service ininterrompu pendant des périodes nuageuses ou de mauvais temps (sans qu'il faille tenir prêt des chères centrales d'électricité d'appui), les turbines pourront être actionnées par du pétrole, du gaz ou des combustibles de biomasse. La chaleur résiduelle du processus à générer de l'électricité pourra être utilisée (en cogénération) pour le dessalement de l'eau de mer et pour la génération du refroidissement thermique- étant des sous-produits qui peuvent être un bénéfice important pour la population locale. [9][10][11][12]

En appliquant des lignes de transmission de Courant Continu à Haute Tension (CCHT) les pertes de puissance au cours de la transmission pourront être limitées à à peu près 3% par 1000 km. L'irradiation solaire intense dans les déserts du MENA (le double de celle en Europe du Sud) l'emporte bien sur les pertes de transmission de 10-15% entre le MENA et l'Europe. Cela veut dire que les centrales thermiques solaires dans les déserts du MENA sont plus économiques que les centrales identiques en Europe du Sud. [3][4]

Sécurité d'approvisionnement

EU-MENA-Connection : lignes de transmission CCHT existantes et projetées avant 2020 (bleu) et trois tracés recherchés par le DLR (orange).

Vers 2050 entre 10 à 25% d'électricité pour l'Europe pourra être l'énergie propre qui est importée des déserts ensoleillés. Dans le scénario TRANS-CSP les énergies renouvelables comprennent à peu près 65% d'approvisionnements de l'intérieur, les importations solaires du MENA étant 17%. Chaque réseau électrique raisonnable à capacités suffisantes en réserve (TRANS-CSP approximativement 25%) pour compenser le dérangement des lignes à haute tension ou des centrales électriques. Une dépendance trop large d'un seul pays et de quelques centrales électriques peut être évitée en diversifiant les diverses sources d'énergie renouvelable, comme illustrée dans le schéma d'une infrastructure montrant une grande variété de centrales thermiques solaires et de fermes éoliennes dans de nombreux pays. De même, l'utilisation de plusieurs différentes lignes de transmission CCHT à l'Europe et une large série de différents propriétaires de facilités (publics mais aussi privés) aidera à accroître la sécurité de l'approvisionnement. [3][4]

Les importations de combustibles tels que l'uranium, le gaz et le pétrole sont reconnues comme politiquement risquées parce que les réserves mondiales diminuent inexorablement et les réserves connues ne sont trouvées qu'en peu de pays. Ceci mènera à des prix plus élevés, à des dépendances politiques ainsi qu'à des limites en approvisionnements. Par contraste, l'énergie solaire est immense, inexhaustible et disponible en énormément de pays. Et au fur et à mesure que les volumes s'accroissent, les prix baisseront et les technologies se perfectionneront. Une demande accrue de la part de l'Europe mènera à une croissance économique pour les pays du MENA. À son tour celle-ci pourra aider à faire progresser la stabilité politique ainsi qu'à perfectionner l'entente entre l'Europe et le MENA. Le trafic mondial d'énergie renouvelable aura tendance à augmenter le nombre de sources disponibles pas chères et devra aider à consolider la coopération mondiale. Des nouveaux emplois dans la région de MENA seraient créés au cours de la phase de construction, dans le maintien des centrales solaires, et dans la génération d'électricité et d'eau pour la population locale. Il y aura aussi la possibilité de générer de l'hydrogène en utilisant des approvisionnements pas chers et inépuisables de l'énergie solaire, ce dernier étant un substitut éventuel apte à remplacer les combustibles fossiles pour le secteur automobile. La demande en biomasse étant décroissante pour générer de l'électricité on pourra l'utiliser plus utilement dans le secteur automobile. [3][4][9][10]

Faisabilité

Capacité, Coûts & Espace :
Développement de la EU-MENA-Connection (marquée par ‘HVDC') et Concentrating Solar Thermal Power (CSP) entre 2020 et 2050 conforme au scénario de la TRANS-CSP

Les technologies nécessaires pour réaliser le concept- DESERTEC existent déjà et sont utilisées depuis de nombreuses décades. Des lignes électriques de transmission CCHT d'une capacité de 3 GW ont été utilisées sur des longues distances par ABB, Siemens et Areva pendant de nombreuses années. En juillet 2007 Siemens acceptait une offre impliquant la construction d'un Dispositif- CCHT de 5 GW en Chine. Au «World Energy Dialogue 2006» à Hanovre, Allemagne, des conférenciers des compagnies l'une comme l'autre auparavant mentionnés, ont confirmé que la réalisation d'un Euro-Supergrid et une EU-MENA-Connection est entièrement faisable au point de vue technique. [13]

Depuis 1985 des centrales thermiques solaires à Kramer Junction en Californie fonctionnent commercialement. Des nouvelles centrales ayant une capacité totale de plus de 2000 MW sont projetées, ou bien sont en construction, ou bien déjà en fonction Le DLR a calculé que, si des centrales étaient construites en grands nombres dans les années à venir, les coûts estimés pourraient baisser à partir de 9-22 centimes d'Euro le kWh à d'environ 4-5 centimes d'Euro le kWh. [14][3][4]

Pour établir vers 2050 en MENA une capacité de 100 GW de puissance solaire exportable en sus des besoins au sein des pays de la ceinture solaire, uniquement quelques mesures gouvernementales appuyant suffiraient à rendre la construction des centrales solaires et du réseau de transmission indispensable, plus attrayante pour les investisseurs, privés mais aussi publics. [3] [4]

Mesures pour réaliser le concept «DÉSERTEC»

On s'est déjà mis à la construction de nouvelles centrales thermiques solaires en Espagne ainsi qu'aux Etats-Unis (l'Andasol 1 et 2, Solar Tres, PS 10, Nevada Solar One). Des projets sont en progrès en Algérie, en Egypte, en Maroc et plus de centrales ont été projetées en Jordanie et en Libye. Le Maroc a réalisé une loi – feed- in pour appuyer les renouvelables (le vent surtout). Et en UE on s'a été mis à discuter sur la construction d'un réseau- super- CCHT à travers l'Europe (un Euro-Supergrid) et on est en train de former des projets de fermes éoliennes- offshore. [15]

Pour pousser la construction de centrales thermiques solaires et de turbines éoliennes en MENA, l'UE devrait donner support à une campagne pour renseigner les gouvernements du MENA qu'aujourd'hui déjà, ces systèmes, reconnus sur leur durées de vie et comparées aux centrales à pétrole ou à gaz, sont les alternatives plus favorables. Ceci réduirait l'utilisation intérieure de combustibles fossiles (qui vont coûter encore plus chères) et en même temps rendrait envisageable pour les pays de la ceinture solaire la production de l'énergie propre de leurs déserts à usage local ainsi qu'à l'exportation. [16]

Bien que dans les pays du MENA les centrales thermiques solaires fonctionnent déjà économiquement, plus de réductions de coûts seront nécessaires à rendre la CSP à une option d'exportation profitable à partir du MENA. Une croissance de la construction de ces centrales et un support pour l'Euro-Supergrid avec une EU-MENA-Connection aidera à baisser les coûts sur la période jusqu'à 2020. Pour atteindre ce but il serait serviable que l'UE donnait avis et support à propos de l'introduction envisageable de règlements- feed- in dans les pays du MENA conforme aux lois d'énergie renouvelable allemandes et espagnoles. Des garanties mondiales aux contrats feed-in locaux ou des traités d'approvisionnement d'énergie pourraient aider à pousser la construction des centrales solaires et des turbines éoliennes. [16]

On se trouve devant une très forte urgence de se mettre à des entretiens sur le développement du réseau- super- Euro avec une EU-MENA-Connection tel que proposé. Ceci favoriserait l'intégration optimale de l'ensemble des sources renouvelables de l'Europe avec celles du MENA. L'initiation de l'EU-MENA-Connection pour la transmission de l'énergie propre à partir des déserts à l'Europe créerait une poussée d'investissements dans des sources renouvelables dans les pays du MENA et donnerait accès à l'électricité bon marché et propre pour l'Europe. La construction de réseaux- CCHT pour les premiers 10 GW, telle qu'écrite dans le scénario- TRANS-CSP, coûterait d'environ 5 milliard d'Euros. Si l'EU-MENA-Connection débute par la transmission vers 2020, il faut que les entretiens au sein de l'UE et ceux avec les gouvernements du MENA (peut-être dans le cadre du partenariat- Barcelone) débutent si vite que envisageable. [16]

En comparaison de la puissance de nouvelles centrales intérieures à fossiles et nucléaires, la puissance solaire de l'Afrique du Nord sera moins chère aux pays de l'Europe du Sud tels que l'Espagne et l'Italie si on commencera par la transmission en 2020. La réduction de coûts étant progressant et le réseau –EU-MENA s'étendant, ceci sera le cas dans la majorité des autres pays européens ultérieurement en 2030. La Connexion- EU-MENA réduisant les coûts de puissance telle que recherchée dans le scénario- TRANS-CSP exigera un investissement de 45 milliards d'euros jusqu'à 2050, et apportera des économies annuelles de 10 milliards d'euros. Un coût mince de l'électricité des déserts deviendra l'option la moins chère et la construction de l'EU-MENA-Connection paraîtra une obligation pour les économies européennes. [16]

En plus de ces mesures supportant directes la TREC présente deux projets pour aider à baisser les coûts de la CSP ainsi qu'à soulager des problèmes sociaux et politiques pressants en même temps. Les deux projets sont techniquement envisageables, mais ils exigent un support financier et politique :

Vers le milieu du XXe siècle, les pays du MENA pourraient avoir fait progresser leurs déserts à des sources inépuisables et vendre de l'énergie propre aux pays européens, en contribuant ainsi à un baissement d'émissions des gaz à effets de serre à un niveau durable. Dans le scénario décrit dans les rapports du DLR, il sera envisageable de diminuer les émissions de CO2 issues de la génération d'électricité de 70%, et permettre de sortir du nucléaire en même temps, ceci avec des coûts d'électricité qui baisseront à long terme. [3] [4]

Critique

L'importation d'électricité est à première vue risquée quand des considérations politiques sont en jeu. Mais contrairement au pétrole (oléoducs, pétroliers), au gaz (gazoducs) ou encore à l'uranium qu'on est obligé d'importer et qui sont des ressources limitées, l'énergie solaire est infinie : les tensions sur la ressource sont par conséquent nulles. Il existe cependant de fortes barrières politiques : la mise en place de ce concept implique une coopération entre les pays européens (la France facilite la production d'énergie nucléaire) et les pays du MENA.

La mise en place de ce concept serait plus facile à l'intérieur d'une confédération d'États (Australie ou États-Unis). En l'occurrence l'Organisation pour la recherche scientifique et industrielle du Commonwealth affirme que l'approvisionnement en électricité de l'Australie pourrait se faire totalement à partir de centrales solaires thermiques d'ici 2020. En Californie, les centrales solaires ont montré leur viabilité au cours des 15 dernières années, et les états voisins du Nouveau-Mexique, du Nevada et d'Arizona adoptent la même technologie.

Bibliographie

Liens externes

Notes et références

  1. TREC Homepage (The whole contents of this website are licensed under the Creative Commons Attribution ShareAlike 2.5 License. )
  2. TREC Members website
  3. abcdefgh Description in the Summary of the TRANS-CSP Study
  4. abcdefgh Researched in the TRANS-CSP Study
  5. MED-CSP Study, Numerical data, Ecobalance, Summary
  6. TRANS-CSP Study, Numerical data, Summary
  7. AQUA-CSP Study
  8. Diese Länder unterzeichneten eine Absichtserklärung für den Export von Sauberem Strom. Beleg für das Beispiel Marokko
  9. ab Description in the Summary of the MED-CSP Study
  10. ab Researched in the MED-CSP Study
  11. Report of Greenpeace : Concentrated Solar Thermal Power - Now!
  12. Memorandum about the potential of solar power plants
  13. http ://en. wikipedia. org/wiki/List_of_HVDC_projects List of HVDC projects. All connections can be googled.
  14. Description in the report "Concentrating Solar Power Now" by the German Federal Ministry for the Environment, Nature Conservation and Nuclear Safety (BMU)
  15. Sigmar Gabriel, German Federal Minister for the Environment, mentions the CSP projects in MENA, calls the idea of the DESERTEC Concept as "ground-breaking" and campaigns for it in his opening speech to the Ministerial Conference under the German Presidency of the EU (at PDF Page 5 & 6), 19.04.2007
  16. abcd Part of a White Book that will be presented in November 2007 to the EU Parliament. Downloadable main chapters already peer reviewed by Leading Authors of the IPCC-Reports
  17. Gaza Project proposal conducted by several institutes
  18. German Parliamentary State Secretary of the Federal Ministery for the Environment (BMU) Michæl Müller mentioned TREC his speech to the European Conference "Integrating Environment, Development and Conflict Prevention" in a very complaisant way and campaigns for TREC's "Gaza Solar Water & Power Project" (in Part III), 29.03.2007
  19. Sana'a Project proposal conducted by several institutes
  20. [http ://yementimes. com/article. shtml?i=958&p=health&a=1 Yemen Times, 28.06.2006, "Water expert : Desalination or displacement for Sana'a residents"

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